Et voilà, c'est fini!

La France repart, la tête un tout petit seulement moins basse, mais pas trop. Le côté positif, Laurent Blance devrait avoir carte blanche...

«Ridicules jusqu'au bout»

Avec le bonnet d'âne


Et un édito de Chabal:

Le maillot Bleu a une charge, une symbolique différente des autres. Celle d’être choisi parmi l’élite de mon sport pour représenter les couleurs de mon pays.
Mais que faut-il de plus pour se transcender ?
Ensuite, et je ne suis pas trop mal placé pour en parler, on peut passer à côté de son match, avoir du mal à s’adapter à un système de jeu différent de celui pratiqué en club.
Mais ce ne sera jamais une raison pour ne pas se livrer jusqu’au dernier souffle pour ce maillot, plus que pour tout autre. Ça, je ne peux le concevoir.

Le reste ici.


Un message bien pensé, qui compare l'ère "Raymond" aux séries américaines...

La bande à Raymond embarque pour l’Afrique du Sud dans une ambiance digne de Wisteria Lane: les joueurs et le coach sont obligés de cohabiter, et essayent de se montrer exemplaires en façade, mais les coups bas se multiplient. Après deux épisodes bien ternes (France-Uruguay et France-Mexique), le bouquet final est tout simplement anthologique, digne des grandes heures de Dallas. Les joueurs se déchirent, des clans éclatent au grand jour, Anelka est viré de la série après ses insultes envers Raymond —avant lui, l’interprète du Dr. Burke Isaiah Washington avait dû quitter Grey’s Anatomy pour avoir insulté un coéquipier. Le monde entier regarde le spectacle, incapable de zapper devant un tel génie dramatique. Les spectateurs n’ont pas le temps de respirer. Grève des joueurs, on n’est jamais allé aussi loin dans l’absurde, même les politiques y vont de leur petit commentaire.

Plus ici: «Raymond», épilogue d’une série culte

Maintenant, je tiens à remercier l'Alliance Française de Manaus et sa directrice Thérèse pour nous avoir permis de se réunir et de regarder les matchs sur écran géant!

Ce blog est dorénavant sans raison d'être et sera fermé ce jeudi, un peu de temps pour les commentaires...
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